Conjoint colérique + crise de nerf. Comment gérer ?

Merci pour tes encouragements "Nini-passion".
Oui c'est vrai, cette pression que je porte sur mes épaules n'est pas facile a gérer et oui j'ai cette sensation de porter seul la vie et l'avenir de notre foyer... mais ce n'est pas le fond du problème malheureusement. Car ces crises je les eu dans d'autres circonstances... en fait je crois qu'il trop facile de se trouver des raisons car on s'en trouvera toujours. Le fait est qu'il n'y a Jamais de raisons assez valables pour agir de la sorte et faire du mal à la personne que l'on chéri le plus au monde.
Pour tes autres questions : Non, je n'ai jamais été habitué a communiquer mes manques, mes souffrances.
Non mon entourage ne m'a rien appris. je suis issu d'une famille monoparentale et ma mère a eu du mal des mon adolescence a me contenir, jai pris le dessus sur elle des mes 16 ans, exploitant ses faiblesses (autant te dire que je le regrette amèrement aujourd'hui puisque ma maman est une femme admirable). néanmoins j'arrive facilement a me pardonner cette epoque car je n'étais qu'un ado en manque de bases.
 
K-rol ? Es-tu certaine qu'il a réellement été voir ce psy ? parceque j'ai du mal à imaginer qu'un docteur puisse lui laisser croire qu'il n'a pas de probleme.
Ou alors il est dans le deni et c'est encore plus grave...
 
bloodflowers a dit:
K-rol ? Es-tu certaine qu'il a réellement été voir ce psy ? parceque j'ai du mal à imaginer qu'un docteur puisse lui laisser croire qu'il n'a pas de probleme.
Ou alors il est dans le deni et c'est encore plus grave...

Non mais j ai pas dis que le psy avait dit ca il l a decider!!!! Il ne se maîtrise pas du tout parfois oui pendant quelques semaine puis apres stop
 
bloodflowers a dit:
Merci pour tes encouragements "Nini-passion".
Oui c'est vrai, cette pression que je porte sur mes épaules n'est pas facile a gérer et oui j'ai cette sensation de porter seul la vie et l'avenir de notre foyer... mais ce n'est pas le fond du problème malheureusement. Car ces crises je les eu dans d'autres circonstances... en fait je crois qu'il trop facile de se trouver des raisons car on s'en trouvera toujours. Le fait est qu'il n'y a Jamais de raisons assez valables pour agir de la sorte et faire du mal à la personne que l'on chéri le plus au monde.
Pour tes autres questions : Non, je n'ai jamais été habitué a communiquer mes manques, mes souffrances.
Non mon entourage ne m'a rien appris. je suis issu d'une famille monoparentale et ma mère a eu du mal des mon adolescence a me contenir, jai pris le dessus sur elle des mes 16 ans, exploitant ses faiblesses (autant te dire que je le regrette amèrement aujourd'hui puisque ma maman est une femme admirable). néanmoins j'arrive facilement a me pardonner cette epoque car je n'étais qu'un ado en manque de bases.

ah non je ne t excusais pas lol je disais en fait que tes crises etaient bien un probleme de comunication,un cri du corps parce que rien ne sort,rien ne change.un appel a l'aide.tu n'as pas appris a gerer ca,tu n en as pas eu de modele dans ton enfance,d explication,et d'apres ce que je comprends tu reproduis sans doute ce que tu as vecu avec ta mere.rien de plus logique...
 
bloodflowers a dit:
Merci pour tes encouragements "Nini-passion".
Oui c'est vrai, cette pression que je porte sur mes épaules n'est pas facile a gérer et oui j'ai cette sensation de porter seul la vie et l'avenir de notre foyer... mais ce n'est pas le fond du problème malheureusement. Car ces crises je les eu dans d'autres circonstances... en fait je crois qu'il trop facile de se trouver des raisons car on s'en trouvera toujours. Le fait est qu'il n'y a Jamais de raisons assez valables pour agir de la sorte et faire du mal à la personne que l'on chéri le plus au monde.
Pour tes autres questions : Non, je n'ai jamais été habitué a communiquer mes manques, mes souffrances.
Non mon entourage ne m'a rien appris. je suis issu d'une famille monoparentale et ma mère a eu du mal des mon adolescence a me contenir, jai pris le dessus sur elle des mes 16 ans, exploitant ses faiblesses (autant te dire que je le regrette amèrement aujourd'hui puisque ma maman est une femme admirable). néanmoins j'arrive facilement a me pardonner cette epoque car je n'étais qu'un ado en manque de bases.

ah non je ne t excusais pas lol je disais en fait que tes crises etaient bien un probleme de comunication,un cri du corps parce que rien ne sort,rien ne change.un appel a l'aide.tu n'as pas appris a gerer ca,tu n en as pas eu de modele dans ton enfance,d explication,et d'apres ce que je comprends tu reproduis sans doute ce que tu as vecu avec ta mere.rien de plus logique...
 
K-rol? Est ce que tu comprends que dans ces conditions là, ça ne changera jamais ? En es-tu vraiment consciente?
Comptes-tu vraiment rester comme ça sans réagir?
Ce n'est pas possible.
Il est dans le déni.
Je n'ai qu'une chose à te conseiller... quitte le. Il n'y a que ça qui pourrait le faire reagir. Si il comprends que tu es capable de faire ça malgres tout l'amour que tu lui portes, il t'estimera beaucoup plus.
Meme si, sans lui dire bien sur, tu pourrai faire cela dans une manoeuvre pour vous sauver. L'important est que lui pense reellement etre en train de te perdre. Il est dans une bulle il faut essayer de la briser.
 
Comme je l'ai décris dans mon premier post, j'étais moi même dans une sorte de déni. Même lorsqu'elle est parti la première fois il y a 2 mois, Je n'ai jamais dis "oui j'ai un problème d’agressivité"; j'en ai admis des tas d'autres et commencer a travailler dessus.
pendant nos 15 jours de séparation j'ai du écrire peut être 50 pages de réflexion. Je viens de tout relire et je suis surpris de constater qu'à aucun moment je ne cite cette agressivité ou ne fais allusion à quelconque crise colérique... C'est fou d'ailleurs.
Il n'y a qu'aujourd'hui que j'arrive à dire : "Oui, j'ai un gros probleme comportementale, oui je dois me faire aider pour changer cela - Oui, si notre couple risque de s'effondrer Ce n'est qu'à cause de ça et je suis le seul responsable de la gravité de la situation".

La tout de suite, Je suis dans une tristesse infinie, les yeux me brulent, je pense à ma petite femme que j'aime si fort, je repense aux scènes de colère que je lui ai infligé, je revois ses larmes, ses yeux plein de détresse et ça me fait si mal. Il ne faut plus jamais que cela ne se reproduise... Si toutefois j'avais la chance qu'elle me revienne...
 
K-rol? Est ce que tu comprends que dans ces conditions là, ça ne changera jamais ? En es-tu vraiment consciente?
Comptes-tu vraiment rester comme ça sans réagir?
Ce n'est pas possible.
Il est dans le déni.
Je n'ai qu'une chose à te conseiller... quitte le. Il n'y a que ça qui pourrait le faire reagir. Si il comprends que tu es capable de faire ça malgres tout l'amour que tu lui portes, il t'estimera beaucoup plus.
Meme si, sans lui dire bien sur, tu pourrai faire cela dans une manoeuvre pour vous sauver. L'important est que lui pense reellement etre en train de te perdre. Il est dans une bulle il faut essayer de la briser.

Bonjour

Quand tu dis que l'homme de K rol ne changera jamais, tu penses que toi donc tu ne changeras jamais non plus ?
 
j'ai dis : "Dans ces conditions là, il ne changera jamais."

Il est impossible de modifier son comportement tant qu'on en mesure pas la gravité et donc l’extrême nécessité de ce changement.

J’étais au fond du gouffre lorsqu'elle est partie la première fois il y a deux mois, j'ai réfléchis a tous mes Defaults a tout ce que je devais changer pour que ça marche entre nous et qu'elle me revienne.
J'ai progressé sur pas mal de points parce que j'en avais pris conscience, en revanche, a aucun moment je n'ai mentionné ma violence dans mes 50 pages de réflexion.
J’étais dans le déni sur ce point la.
et pour être honnête, je ne dirai pas que de son côté c’était aussi du déni, mais elle ne m'en a pas reparlé non plus. Elle ne m'a pas dit par exemple "ok c'est bien tout ça, mais concernant ta violence, que compte tu faire ?"
Elle est revenue... et ça c'est reproduit... fatalement j'ai envie de dire.

Aujourd'hui j'ai beaucoup d'espoir me concernant parce que justement, j'ai pleine conscience de ce que je suis et j'ai véritablement envie de combattre cette abjection.

Je n'ai pas peur de dire "Oui, je suis un homme violent, qui n'arrive pas à se maîtriser"... pour être franc, ça me fait presque du bien de pouvoir le dire ou l’écrire...
C'est étrange, comme si je m’étais libéré de quelque chose...
 
Bonjour,

Je suis un peu comme ton homme ; je tape des crises de nerfs sans raisons (apparentes) et ma copine les subi.
J'ai conscience de lui faire du mal mais elle prend beaucoup sur elle.
Cela fait maintenant 9 ans que nous sommes ensemble et nous avons un petit garçon de 2 et demi.
Mais colères sont ponctuelles et souvent très violentes (je ne casse rien mais mes propos dépassent largement mes pensées).
Nous en avons déjà discuté ensemble et j'ai réussi à freiner mes colères. Malgrè tout, lorsque je me lâche un peu du fait de la fatigue régulière (je pars souvent en déplacement et mon métier est assez physique), je ne contrôle plus rien. J'arrive à me calmer seul car tout propos venant d'elle dans ces moments là sont sources d'énervement. Elle n'y peut rien. Ce n'est pas de sa faute. Mais pour moi, elle reste (à tort) la source de mes crises de nerfs. Je sais pertinamment que si j'étais avec une autre personne, le problème resterait similaire. J'ai donc un problème.

Je cherche une solution sur différents forum mais aucune solution proposée ne me convient (psychothérapie, relaxation...). Tous les hommes sont différents. Personnellement, je vais opter pour la natation, 2h par semaine. J'avais déjà fais de la musculation auparavent et ça m'avais beaucoup aidé.
Je ne dis pas que je m'énervais moins, mais en tout cas c'était une grosse source de défoulement et d'introspection.
Mon couple se portait bien à ce moment là mais pour des raisons de temps, j'ai dût arrêter.

Avec notre petit garçon qui nous accapare beaucoup de temps, cela devient plus difficile avec ma compagne de discuter ensemble. Et le soir, lorsqu'il est au lit, nous sommes tellement fatigué et usé que nous n'avons plus la force de parler de sujets profonds (type mon problème de colère).
Du coup, je m'énerve plus fréquemment et cela commence à me ronger de l'intérieur.

Je m'énerve beaucoup qu'avant grâce à elle, mais je sens bien qu'elle en a marre d'être un punching ball le week end quand je rentre du boulot.
Mon fils également tape des crises de colère (normales pour son âge) et j'ai peur d'être un mauvais exemple à ce niveau là.

J'ai un caractère d'autodidacte, je n'irai donc pas voir de psychanalyste ou autre thérapeute susceptible de me faire du bien. Je pense reprendre le sport et parler avec ma compagne.
J'espère que ça suffira... sinon, j'aviserai ;-)

Désolé pour la longueur de ce post mais cela me fait du bien de partager mon vécu.

Bon courage à toutes et tous. Il s'agit d'une réelle maladie dont il est difficile d'en sortir. Le support de notre conjoint est primordial dans cette étape. Le plus difficile est d'en parler sans perdre son sang froid. Et je sais que par expérience, la moindre phrase qui inclu une notion de "se calmer" est la pire des choses à dire à un mec en pleine crise. Dans ces moment là, je préfère rester seul.
Maintenant, on est tous différents...
 

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