Nouvelle réglementation pour les prothésistes ongulaires, où en sommes-nous ?

Avant d'imposer des choses pour les stylistes ongulaires, ils devraient déja imposer un minimun de formation pour les esthéticiennes pures. La loi de 96 revu en 2005 dit : une personne qui n'a jamais été à l école pour suivre une formation minimun de base peut exercer le métier d'esthéticienne et ouvrir son salon et s'inscrire à la cma si elle justifie de 3 ans d'expériences sous le controle d'une personne qualifiée.
C'est un peu simple une personne diplomée peux embaucher le 1er passant dans la rue le payer une poignet de cerises lui montrer rapidement un protocole et 3 ans après cette personne peux faire se quelle veux. C 'est le cas là ou je travaille je suis esthéticienne diplomée et ils donnent à faire depuis plus de 5 ans les prestations de manucurie beauté des pieds maquillage et épile sourcils, soin visage flash à faire à une vendeuse boutique parce qu'elle nous à vue faire une fois et nous les diplomées ils nous reste plus que les prestations massage corps hors qu'on faisait tout avant.
 
Je dirais:
"il faut aussi imposer un minimum de formation pour les esthéticiennes"
le "avant d'imposer aux stylistes ongulaires" et "esthéticiennes pures" me chatouille l'oreille. Je chipote, je sais... ;)
Améliorer votre formation est aussi important que de faire reconnaitre le métier de styliste ongulaire "pur" en tant que tel. Il faut comprendre que ça urge pour nous.
 
Étant donné que le stylisme ongulaire est devenu un métier à part entière au fil des années il serait justifié qu'il y a une mention complémentaire pour les esthéticiennes et qu'il y ai également la création d'un CAP stylisme ongulaire mais maintenant cela doit sûrement demandé beaucoup trop de travail pour se gouvernement tellement surchargée à se lécher les fesses mutuellement ou à se casser du sucre sur le dos
 
Art & Ongles a dit:
Je dirais: "il faut aussi imposer un minimum de formation pour les esthéticiennes" le "avant d'imposer aux stylistes ongulaires" et "esthéticiennes pures" me chatouille l'oreille. Je chipote, je sais... ;) Améliorer votre formation est aussi important que de faire reconnaitre le métier de styliste ongulaire "pur" en tant que tel. Il faut comprendre que ça urge pour nous.
Je suis d'accord avec toi à 200% et je suis esthéticienne. Dans notre formation (même bts ou on ne vois pas la résine ou très peu et le gel pas suffisamment) c'est pour cela que je passe moi même un cqp PO. Ce métier doit être réglementé.
 
La question reste entière, peut on ou pas être inscrite au cma?
à priori oui, c'est encore possible, en cas de difficulté, il faut suivre un certain nombre de démarches conseillées par l'Upcom. Cependant si les CM refusent ton inscription et que tu ne peux justifier d'aucune formation probante, ne t'étonne pas.
 
à priori oui, c'est encore possible, en cas de difficulté, il faut suivre un certain nombre de démarches conseillées par l'Upcom. Cependant si les CM refusent ton inscription et que tu ne peux justifier d'aucune formation probante, ne t'étonne pas.
J'ai entamé les démarches d'inscription, refus de ma cma. La j'en suis à la demande par AR. C'est quoi pour toi une formation probante? Je trouve cela super intéressant ta remarque. (De mon côté je prends le temps de me former :105h, et je regarde pour une formation complémentaire dans un ou deux mois mais avant j'attends réponse cma)
 
Et bien probante veut dire pour moi que tu as vu au niveau de ta formation les règles d'hygiène, l'anatomie de l'ongle et ses maladies, les réserves à observer pour toutes pose, puis enfin une technique de pose, remplissage et dépose non agressive pour la plaque de l'ongle, enfin d'avoir vu différentes techniques. Le nombre d'heures est important ainsi que le centre de formation qui t'as dispensé son enseignement.
 
Je comprends, ensuite je crois aussi que c'est une question d'éthique personnelle. Pour l'instant je me bats avec ma cma, dommage ce temps perdu plutôt que se concentrer sur l'aspect technique du métier.
Enfin la jungle des formation est telle que l'on se pose beaucoup de question: formation style beautynails, ou une formation type Alessandro, ou aller vers une "artiste". Je n'ai pas encore trouvé la réponse :(
 
Quel intérêt de forcer les cma a vous immatriculer si au moindre contrôle la DGCCRF vous fait fermer boutique ? c'est comme pour les formations à ce jours vous payez pour du vent puisqu'il y a pas encoree de formation agrée.
A ce jour pour travailler il vous faut le CAP ou 3 ans de pratique vérifiable.

Véronique toi et moi (et d'autres) ont étés contrôlés par la DGCCRF et nous sommes encore là. Il y a eut une vague de fermeture de site et d'espace de vente et c'est pas fini...
 
à priori oui, c'est encore possible, en cas de difficulté, il faut suivre un certain nombre de démarches conseillées par l'Upcom. Cependant si les CM refusent ton inscription et que tu ne peux justifier d'aucune formation probante, ne t'étonne pas.
La Chambre des métiers ne peut refuser une inscription elle serait dans l'illégalité.
 
Je comprends, ensuite je crois aussi que c'est une question d'éthique personnelle. Pour l'instant je me bats avec ma cma, dommage ce temps perdu plutôt que se concentrer sur l'aspect technique du métier.
Enfin la jungle des formation est telle que l'on se pose beaucoup de question: formation style beautynails, ou une formation type Alessandro, ou aller vers une "artiste". Je n'ai pas encore trouvé la réponse :(
Il n'y a pas une réponse, malheureusement...
Aujourd'hui un centre comme Beautynails ou autre te permettra d'avoir les heures et font partie de centres "agréés" par l'UPCOM, un syndicat qui défendra tes intérêts si tu passes par là. Parti pris de certains centres certes, mais aujourd'hui c'est le constat. Malheureusement malgré les heures, ce n'est généralement pas de ce type de centre que tu tirera un enseignement technique des meilleurs. Une artiste est très intéressante pour le complément, les corrections de ton travail, la finesse, pas agréée mais de la vraie technique... le budget est conséquent, mais moindre que de faire un cap puis ensuite de se former à la prothésie ongulaire vue qu'elle n'est plus dans le cursus du cap esthé.
 
Quel intérêt de forcer les cma a vous immatriculer si au moindre contrôle la DGCCRF vous fait fermer boutique ? c'est comme pour les formations à ce jours vous payez pour du vent puisqu'il y a pas encoree de formation agrée.
A ce jour pour travailler il vous faut le CAP ou 3 ans de pratique vérifiable.

Véronique toi et moi (et d'autres) ont étés contrôlés par la DGCCRF et nous sommes encore là. Il y a eut une vague de fermeture de site et d'espace de vente et c'est pas fini...
L'intérêt pour celles qui ont suivi de vraies formations et qui ont une certaine éthique est de pouvoir travailler, d'avoir de l'antériorité au niveau de l'immatriculation, de pouvoir le cas échéant être embauché...
Une bonne formation n'est pas superflue, car une fille immatriculée se verra peut-être dans l'obligation un jour de passer un cqp pour se régulariser, mais ce cqp ne sera jamais une formation initiale...
 
Je suis d'accord avec toi à 200% et je suis esthéticienne. Dans notre formation (même bts ou on ne vois pas la résine ou très peu et le gel pas suffisamment) c'est pour cela que je passe moi même un cqp PO. Ce métier doit être réglementé.
Quel intérêt de forcer les cma a vous immatriculer si au moindre contrôle la DGCCRF vous fait fermer boutique ? c'est comme pour les formations à ce jours vous payez pour du vent puisqu'il y a pas encoree de formation agrée.
A ce jour pour travailler il vous faut le CAP ou 3 ans de pratique vérifiable.

Véronique toi et moi (et d'autres) ont étés contrôlés par la DGCCRF et nous sommes encore là. Il y a eut une vague de fermeture de site et d'espace de vente et c'est pas fini...


La CMA n'est pas "forcé" d'immatriculer, elle est simplement dans l'illégalité de refuser d'immatriculer en évoquant l'absence de CAP Esthétique du futur entrepreneur, nuance.

Quant à la DGCCRF, celle-ci a interprété du jour au lendemain une loi de 1996 qui existe donc depuis presque 20 ans!!!!
Certains parlent de fermetures de boutiques suite à un contrôle de la DGCCRF, mais je n'ai pas constaté de témoignages de stylistes ongulaires concernées sur ce forum (ou je n'ai pas lu attentivement les 37 pages de cette discussion!). Sur ces cas de fermetures, le motif n'était pas plutôt attaché au non respect de la réglementation concernant les produits de juillet 2014 plutôt que celui lié à la qualification de l'entrepreneur ?

En ce qui concerne les formations, je ne pense pas que les acteurs du secteur de la formation, qui développent ce métier depuis des décennies soient tout à fait d'accord sur le "payer pour du vent". En effet, il n'y a pas pour le moment de diplôme reconnu par l'état c'est un fait et pas nouveau, mais ne réduisez pas des années de travail de centres de formation sérieux par...du vent.
D'ailleurs, où en serait votre activité de vente de produits ongulaires, si les stylistes d'ongle n'étaient pas formées?

"A ce jour pour travailler il vous faut le CAP ou 3 ans de pratique vérifiable" Je suis désolée mais ce que vous dites est faux.

Pour finir, si il y a eu des fermetures de sites et de ventes en ligne, cela concerne la réglementation sur les produits de 2014 et non la réglementation du métier.
 
bon en gros si on es a son compte depuis moins de 3 ans il va se passer quoi?????
précisemment

car ca fait 3 ans en juin pour moi mais je me bat avec ma CMA qui ne veut pas prendre en compte plus d un d activité ou j 'etais en activité secondaire
 
Le problème c'est que personne n'est dans possibilité de répondre à votre question malheureusement et ça dure depuis un an et demi....
Tant que le gouvernement n'aura pas statué sur la question, rien ne pourra être défini.

Concernant le problème que vous rencontrez avec la chambre des métiers, la démarche à effectuer :


Voici la démarche que conseille l'UPCOM. Nous l'avons appliqué en tant que centre de formation auprès de nos stagiaires ayant une difficulté à obtenir leur immatriculation et elles ont obtenu gain de cause.

1) D'effectuer votre demande d'immatriculation par lettre recommandée avec AR auprès de votre Chambre des métiers. Attention, celle-ci doit concerner uniquement la prothésie ongulaire/stylisme d'ongle. Hors manucure et beauté des pieds (réservée aux esthéticiennes). Cette demande écrite vous permet d'être en possession d'une part, d'une trace écrite et datée de votre demande et d'autre part, d'obtenir le refus de la Chambre des métiers (si tel est le cas) par écrit également.

2) En cas de refus, celui-ci doit impérativement être écrit. Si ce n’est pas le cas, il faut envoyer à nouveau une lettre recommandée avec AR à la Chambre des métiers, afin d'exiger un refus par écrit de leur part, justifiant la base légale de leur décision et ainsi, pouvoir aller en justice réclamer votre droit.

3) Il en va de même, en cas d'obligation de la Chambre des métiers, d’apposer votre signature sur un document par lequel vous reconnaissez exercer dans des conditions illégales votre métier, si vous n’êtes pas titulaire d’un CAP. Il faut également envoyer une lettre recommandée avec AR à la Chambre des métiers, afin d’exiger un courrier de leur part justifiant la base légale de leur demande et ainsi, pouvoir aller en justice réclamer votre droit.

De plus, vous pouvez également leur transmettre en pièce jointe de vos courriers une copie du document que je joins à ce post du Bureau de la Tutelle des Chambres des métiers et de l’artisanat (paragraphe 4). Cela devrait leur rafraichir les idées…

La chambre des métiers ne peut justifier son refus d'immatriculation par écrit puisque si ils le fournissent, vous pouvez avoir gain de cause auprès du tribunal.

Bon courage à vous
Cordialement
 

Pièces jointes

  • 9 avril 2014.pdf
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Prothésiste ongulaire : «La situation est devenue ingérable pour les professionnels»
1/04/2015 INTERVIEW

Alors que la Répression des fraudes annonce qu'elle va intensifier sa surveillance des stylistes ongulaires, Profession bien-être a demandé à l'avocat Maître David Simhon, spécialiste du droit de la santé et conseil de l'Union des professionnels des métiers des cils, de l'ongle et du maquillage (UPCOM), de revenir sur la réglementation actuelle et l'évolution des positions prises par l'Administration.

Profession bien-être : Selon les résultats d'une enquête publiée par la DGCCRF, 43% des professionnels qui prétendent exercer une activité de «stylisme ongulaire» ne sont pas qualifiées pour l'exercer légalement. Cela vous étonne ?

Maître David Simhon
: Je suis plutôt étonné par ce chiffre qui me semble très bas. J'aurais imaginé que ce serait plutôt 80%, car cela fait des années que les services de l'Etat estiment qu'il n'est pas nécessaire d'effectuer des vérifications professionnelles pour la profession de prothésiste ongulaire. En toute logique, si on ne cesse de répéter aux gens qu'ils n'ont pas besoin de qualification, on finit par s'apercevoir qu'ils n'en ont pas...
La Répression des fraudes ciblait plutôt les « stylistes ongulaires », comme il est précisé dans son compte-rendu. Or, pour cette activité spécifique, il existe un certificat de qualification professionnelle (CQP) depuis 2011...
Si vous lisez bien ce document, les personnes non qualifiées, pour la Répression des fraudes, ce sont celles qui ne sont pas titulaires d'un diplôme d'esthétique. Je ne pense donc pas qu'elle se réfère spécifiquement au CQP «stylisme ongulaire».

Existe-t-il une réglementation, aujourd'hui, qui fait clairement la distinction entre stylisme et prothésie ongulaires ?

Non, il n'y en a pas. Et c'est bien là toute la difficulté. Le distingo actuel n'a aucun fondement légal. Il a été défini par la profession, notamment dans le cadre du travail de normalisation mené au sein de l'Afnor. L'une des normes concerne les ongles, et les professionnels qui participent à son élaboration ont décidé de faire la différence entre les deux activités, prothésie et stylisme ongulaires : d'après eux, la première peut être exercée sans qualification en esthétique, tandis que la seconde nécessite une spécialisation d'esthéticienne qui peut s'acquérir dans le cadre du CQP.

Pourquoi cette activité n'est-elle pas du seul ressort des esthéticiennes diplômées ?

Pour le comprendre, il faut revenir aux textes initiaux qui définissent le métier d'esthéticienne, la loi de 1996 et son décret d'application de 1998. Que disent-ils ? Qu'il faut être qualifié professionnellement pour exercer des activités de soins à la personne autres que médicaux et paramédicaux. Or, la difficulté, c'est qu'à aucun moment il n'y a de définition précise du soin esthétique à la personne qui n'est ni médical, ni paramédical... Pour le savoir, il faut donc se tourner, soit vers la jurisprudence, soit vers ce que les juristes appellent la doctrine administrative, c'est-à-dire les prises de position de l'Administration sur le sujet.

Et là, vous soutenez que Bercy n'a pas toujours été aussi sourcilleux en matière de qualification des prothésistes ongulaires...

Prenons les faits. En mars 2010, on a eu une réponse de Christine Lagarde, ministre de l'Economie de l'époque, parue dans le journal officiel, qui disait que la pose d'ongles artificielles n'était pas considérée comme une prestation d'esthétique exigeant une qualification professionnelle. L'année suivante, en septembre 2011, un courrier adressé à la CNEP (Confédération nationale de l'esthétique et de la parfumerie, à laquelle est affiliée l'UPCOM, ndlr) par Frédéric Lefebvre, alors secrétaire d'Etat en charge de l'artisanat et du commerce, reprend cette position. La doctrine administrative est de nouveau affirmée en septembre 2013 lors d'une réunion à l'Afnor, où j'étais présent, par un représentant du ministère de l'économie. Ce n'est qu'à partir de 2014 que tout a changé.

En effet, les services de Carole Delga, secrétaire d'Etat à l'artisanat et au commerce, ont estimé l'année dernière que les activités de prothésie ongulaire et de stylisme ongulaire nécessitaient toutes les deux une qualification professionnelle. Alors, que s'est-il passé ?

La Répression des fraudes s'est emparée subitement du dossier. Pourquoi ? Je ne sais pas. Toujours est-il que la DGCCRF a adopté une analyse radicalement différente de celle exposée jusqu'ici par le ministère de l'Economie, en considérant que la pose d'ongles artificiels entrait dans la catégorie des soins esthétiques à la personne, et donc, nécessitait une qualification professionnelle.

Cela veut dire qu'une simple modification de ce que vous appelez la « doctrine administrative », sans que la réglementation ne soit modifiée, peut aujourd'hui plonger des milliers de professionnels dans une totale incertitude ?

La situation est devenue ingérable pour les professionnels. Et elle est surtout inconfortable pour ceux qui exercent la prothésie ongulaire, parce qu'on leur a dit pendant des années qu'il n'y avait aucun problème pour s'installer sans diplôme d'esthétique.
C'est aussi, peut être, un soulagement pour les esthéticiennes, qui y ont vu une concurrence déloyale pour leur activité ?
Je ne pense pas que les professionnels non diplômés en esthétique représentent une véritable concurrence pour les esthéticiennes. Cela fait longtemps qu'elles sont sorties du domaine d'activité de la pose de faux ongles. Je crois même savoir que le CQP a été conçu précisément, parce qu'il n'y avait plus de formation, ou alors très peu, dans les diplômes d'esthétique, à la pose de faux ongles.

Sur quoi se fonde la DGCCRF ?

Je ne suis pas sûr de la légalité de la position actuelle de la Répression des fraudes. D'ailleurs, je note qu'il n'y a pas eu de véritable contentieux sur la question, et donc de jurisprudence. La Répression des fraudes, à ce jour, n'a jamais sanctionné personne. La seule chose que je vois, ce sont des avertissements, mais ils ne constituent pas une décision faisant grief. Autrement dit, ces avertissements ne peuvent pas faire l'objet d'un recours. Il y a eu, toutefois, l'année dernière, une décision de tribunal administratif de Grenoble, qui intervenait pour un refus d'immatriculation d'une jeune femme, formée à la prothésie ongulaire mais sans la qualification d'esthéticienne. Le tribunal a annulé la décision de refus, et la personne a été finalement immatriculée par la Chambre des métiers.

L'été dernier, une réflexion sur le sujet avait été annoncée par le ministère de Carole Delga. Elle devait être entamée avec les « parties prenantes ».
Où en est-on ?

A ma connaissance, il n'y a pas eu encore d'avancée sur le dossier.

Peut-on s'attendre à une nouvelle réglementation d'ici à la fin de l'année ?

Ce n'est pas certain. C'est compliqué, car ce n'est pas un dossier prioritaire pour le gouvernement. Je pense, en revanche, qu'on ne peut pas continuer d'exercer son activité dans une telle incertitude. Comme la solution ne va pas venir rapidement du gouvernement, elle doit venir nécessairement des tribunaux. Un moment donné, il va falloir envisager des actions auprès du tribunal administratif, pour refus d'immatriculation ou s'il y a des sanctions plus importantes prononcées par la Répression des fraudes.

Maître David Simhon Avocat Associé G A L I E N A F F A I R E S | A V O C A T S P A R I S - B R U X E L L E S
Propos recueillis par Georges Margossian.
 
Je ne comprend pas la différence entre styliste ongulaire et prothésiste ongulaire ?
Pour moi c'est exactement la même chose
D'ailleurs, je ne sais même plus sous quel intitulé je me suis inscrite à la cma
 

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